Subject: RE: [congocitizen] Le Conflit Israélo-palestinien: Ses origines bibliques et ce que tout Chrétien et tout politicien devrait savoir...
"Aujourd'hui, nous voyons les choses d'une maniere confuse, comme dans un mirroir", ecrit Saint Paul.
Mr. Valaka nous expose des elements de cette confusion. Voyons:
1. L'analyse de notre compatriote presente l'image d'un Dieu plutot mechant: qui instruit l'extermination des peuples que lui meme a cree. Dieu serait aussi injuste, selon ce compte. Son injustice suit celui de Noe: a jeter la malediction sur un innocent, son petit fils qui n'avait rien a voir avec son scandale de nudite. Et lui-meme, Noe, qui est alle s'enivrer au point d'aller s'endormir a poils, ne recoit aucun chatiment.
Cette analyse contredit le concept Dieu-Amour tel qu'il est bon d'enseigner.
2. Jesus est presente comme un incivique qui insulte de "chien" les non-juifs. Meme en tant qu'Homme Juif, l'insulte n'est pas de la nature d'une quelconque personne de bonne education.
Cette ligne de pensee est egalement en contradiction avec le concept de la "pierre angulaire que les constructeur avaient rejetee..." qui aboutit sur celui des "autres peuples qui ont cru et qui seront sauves".
3. Les juifs ne se sont jamais prononces pour l'extermination du peuple palestinien, selon le mandat divin. C'est le contraire. Ce sont les palestiniens (extremistes) qui cherchent a jeter les juifs dans la mer.
4. Mr. Valaka parle de la reconstitution de l'etat d'Israel par la volonte de Dieu. Non, ce qui s'est passe en 1948 etait plutot la volonte de Nations Unies, soutenues par les USA et d'autres. Il est difficile de convaincre que cette organisation (NU) et ces pays fonctionnent selon la volonte de Dieu. Beaucoup pensent que leurs pouvoirs, souvent destructeurs, sont geres par Satan.
5. Et Mr. Valaka conclue: "Dès lors, ayant le facteur divin à l'esprit, ils[pays, organisations traitant du conflit Israel-Palestine] doivent se rendre en évidence lorsque ce problème est mis sur la table". Le facteur divin suggere suivre la volonte de Dieu. Et celle-ci, selon la meme analyse voudrait L'EXTERMINATION pure et simple du peuple palestinien, et pouquoi pas de tous le peuples arabes, descendant tous de la "race maudite". Allez presenter une telle ligne de pensee aux negociations, et revenez nous dire comment vous seriez qualifie!! Toutes les parties interessees cherchent plutot la cohabitation paisible de ces peuples cousins, ce qui est contraire a la volonte divine telle nous presentee dans le recit de Mr. Valaka.
Je voudrais relever que la lecture des versets bibliques a la lumiere de notre vie de tous les jours suscite plus de questions qu'elle ne donne de reponses. Je vous recommande de faire une critique intelligente, de presenter des pistes alternatives de la comprehension et de la signification des choses, et de vous laisser ouvert a d'autres lignes de pensee. Il y a un message qui nous unit: c'est celui de l'amour (ainsi enseigne Jesus Christ). Avant lui, le prophete Esaie avait recommande de "cesser de faire le mal, et apprendre a faire le bien". C'est peut-etre la seule connaissance dont nous avons besoin. Et tout irait mieux si nous ne nous limitions qu'a ces deux concepts.
M.K.
Mr. Valaka nous expose des elements de cette confusion. Voyons:
1. L'analyse de notre compatriote presente l'image d'un Dieu plutot mechant: qui instruit l'extermination des peuples que lui meme a cree. Dieu serait aussi injuste, selon ce compte. Son injustice suit celui de Noe: a jeter la malediction sur un innocent, son petit fils qui n'avait rien a voir avec son scandale de nudite. Et lui-meme, Noe, qui est alle s'enivrer au point d'aller s'endormir a poils, ne recoit aucun chatiment.
Cette analyse contredit le concept Dieu-Amour tel qu'il est bon d'enseigner.
2. Jesus est presente comme un incivique qui insulte de "chien" les non-juifs. Meme en tant qu'Homme Juif, l'insulte n'est pas de la nature d'une quelconque personne de bonne education.
Cette ligne de pensee est egalement en contradiction avec le concept de la "pierre angulaire que les constructeur avaient rejetee..." qui aboutit sur celui des "autres peuples qui ont cru et qui seront sauves".
3. Les juifs ne se sont jamais prononces pour l'extermination du peuple palestinien, selon le mandat divin. C'est le contraire. Ce sont les palestiniens (extremistes) qui cherchent a jeter les juifs dans la mer.
4. Mr. Valaka parle de la reconstitution de l'etat d'Israel par la volonte de Dieu. Non, ce qui s'est passe en 1948 etait plutot la volonte de Nations Unies, soutenues par les USA et d'autres. Il est difficile de convaincre que cette organisation (NU) et ces pays fonctionnent selon la volonte de Dieu. Beaucoup pensent que leurs pouvoirs, souvent destructeurs, sont geres par Satan.
5. Et Mr. Valaka conclue: "Dès lors, ayant le facteur divin à l'esprit, ils[pays, organisations traitant du conflit Israel-Palestine] doivent se rendre en évidence lorsque ce problème est mis sur la table". Le facteur divin suggere suivre la volonte de Dieu. Et celle-ci, selon la meme analyse voudrait L'EXTERMINATION pure et simple du peuple palestinien, et pouquoi pas de tous le peuples arabes, descendant tous de la "race maudite". Allez presenter une telle ligne de pensee aux negociations, et revenez nous dire comment vous seriez qualifie!! Toutes les parties interessees cherchent plutot la cohabitation paisible de ces peuples cousins, ce qui est contraire a la volonte divine telle nous presentee dans le recit de Mr. Valaka.
Je voudrais relever que la lecture des versets bibliques a la lumiere de notre vie de tous les jours suscite plus de questions qu'elle ne donne de reponses. Je vous recommande de faire une critique intelligente, de presenter des pistes alternatives de la comprehension et de la signification des choses, et de vous laisser ouvert a d'autres lignes de pensee. Il y a un message qui nous unit: c'est celui de l'amour (ainsi enseigne Jesus Christ). Avant lui, le prophete Esaie avait recommande de "cesser de faire le mal, et apprendre a faire le bien". C'est peut-etre la seule connaissance dont nous avons besoin. Et tout irait mieux si nous ne nous limitions qu'a ces deux concepts.
M.K.
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